Anglais
★★★★☆
Définition
Savoir communiquer en anglais est la faculté de pouvoir s’exprimer avec aisance dans cette langue aussi bien à l’oral qu’à l’écrit.
Maîtriser la langue anglaise est devenue indispensable dans le monde du travail, du fait qu’elle est aujourd’hui la langue la plus parlée au monde. Elle est d’ailleurs la langue la plus souvent enseignée en tant que langue étrangère à travers le monde, c’est également la langue la plus utilisée sur Internet et dans les entreprises francophones. Dans le domaine du numérique, l’anglais est omniprésent ; il n’y a donc pas d’autres choix que de maîtriser la langue.
Mes éléments de preuve
Tout ce que je rédige et ce que je lis dans le cadre du projet sur lequel je travaille depuis deux ans chez Thales Avionics sont en anglais (sauf les emails qui restent en français). Par exemple, tous les documents décrivant les protocoles de communication avionique (ARINC) sont disponibles exclusivement en anglais. Il en est de même pour toutes les normes et les standards aéronautiques. La très grande majorité des sites que je consulte pour acquérir de la connaissance sur telle ou telle technologie est également en anglais. Et lorsqu’il existe des sites en français, les sites en anglais restent la référence.
Je lis donc beaucoup de documents en anglais rédigent également quelques documents techniques dans cette langue, mais je n’ai jamais eu l’occasion de parler en anglais dans le cadre du travail et c’est quelque chose que je regrette particulièrement. Il y a pourtant beaucoup de personnes chez Thales Avionics qui participent à des réunions en anglais et qui échangent par téléphone, visioconférence ou emails dans cette langue, que ce soit avec d’autres entités Thales (Thales UK, Thales US, Thales Roumanie ou Thales Inde par exemple), avec les clients (les sociétés SUKKHOI en Russie ou EMBRAER au Brésil pour ne citer qu’eux), avec les sociétés sous-traitantes ou encore dans le cas d’études réalisées à l’échelle européenne en partenariat avec d’autres sociétés.
Mon autocritique
Lire des documents techniques en anglais (j’y inclus les sites internet) ne me pose pas de problèmes. C’est quelque chose que je pratique depuis longtemps et notamment pour développer mes projets personnels. Même si écrire en anglais me demande un peu plus d’effort, je ne ressens pas de difficultés particulières dans cet exercice.
Pour ce qui est de l’écoute, j’essaie de l’entretenir en visionnant des vidéos sur YouTube ou des séries sur NETFLIX, mais je sais que rien ne vaut l’échange direct avec une personne. Ce qu’il me manque aujourd’hui, c’est de parler en anglais. Je n’en ai pas l’occasion chez Thales et, pour le moment, je n’ai rien prévu pour développer cette capacité, comme par exemple voyager dans un pays anglo-saxon. Et la crise sanitaire de la Covid-19 freine les déplacements à l’étranger.
Dans tous les cas, je connaitrais mon niveau d’anglais très prochainement, lorsque je passerai le TOEIC, la référence mondiale pour l’évaluation des niveaux d’anglais dans un contexte professionnel.
Savoir communiquer en anglais, aussi bien à l’oral qu’à l’écrit, est une compétence indispensable dans mon profil d’Expert en Ingénierie.
Mon conseil pour progresser en anglais est de pratiquer, en lisant régulièrement des livres ou des articles, en visionnant des vidéos et des séries en version originale, mais surtout en rencontrant des personnes anglo-saxonnes.
Mon évolution dans cette compétence
Savoir communiquer en anglais est une priorité dans mon projet professionnel.
Comme la situation sanitaire actuelle ne permet pas de voyager facilement dans un pays anglo-saxon (en Angleterre par exemple), mon souhait serait de suivre une formation d’anglais par téléphone d’environ quinze heures. Le principe est simple et semble efficace : un formateur anglophone que j’ aurais choisi sur des critères tels que son pays d’origine (Angleterre, Inde, etc.) – dans le but par exemple de discuter avec un interlocuteur qui a un accent particulier – m’appellerait à une heure que j’aurai fixée et pour une durée de 30 minutes. Le principe est alors d’être mis en situation (présentation d’un produit par exemple) tout au long de la formation, à un rythme de deux fois par semaine. Je sais que certains salariés de Thales Avionics vont avoir l’occasion de suivre ce type de formation. J’espère pouvoir la suivre un jour.